J'arrivais sur les lieux de l'ambassade du nouvel age, tout était si claire par rapport au temple, je m'disais qu'il fallait vraiment donner un coup de jeune à notre habitation. Marchant, je contemplais l'enorme endroit où je me trouvais. J'étais devant la porte, et décidais de la pousser. La pièce était vide, il n'y avait qu'un petit bonhomme au milieu de la pièce, assis. Il me faisait penser à notre scribe, ce souffre douleur que tout le monde baffait. Je lui demanda d'un ton très calme si son maitre était là, mais d'une voix chevrotante, l'homme me dit que non. Je voyais pourtant au loin, l'ombre de ce maudit personnage, aimé de très peu de monde, qui avait osé venir en ma demeure. Puis, d'une voix forte et autoritaire, je lança au sribe :
Hé bien, tu diras que JRD est passé ! L'assassin masqué à la tunique de sang, et de cendres. Mais cette chiffe-mole n'est pas là, et dis lui bien, que je repasserai pour le voir. Ton maître est un lâche ! Il signe des contrats, et serre les poignets de mains des plus grands démons, afin de sauver sa petite personne ! Il est venu en mes lieux, et ma tendu sa main, tel un vautour assoifé d'or et de gloire, sans vouloir cependant, se salir. Manque de peau pour lui, il n'a pas eu le retour qu'il attendait, et s'est trouvé l'air idiot, devant mes frères, mes femmes et mes boufons, car en effet, aucun d'eux n'étaient retrouvés dans de telles circonstances. Ton maître est petit, tonmaître est un faible ! Et que Dieu m'entende, je le crierai haut et fort !
Si je suis venu ici, c'est pour à mon tour, lui annoncer quelque chose, oui ton peuple et le mien seront désormais en guerre, qui n'a aucune valeur à mes yeux. Il vient me demander une alliance, il veut que je vous épargne, certainement parce qu'en tant que chef, il a peur de la valeur de ses soldats, et de la sienne. En faisant cela, vos soldats se baladront tête basse pour éviter de croiser les regards des autres personnes, guerriers et paladins, mendiants et vieillards. Honte à votre chef !
C'est officiel, le nouvel age, et Memories sont en guerre, non une guerre froide, qui n'opposeront que les mots, mais une guerre pure, une guerre d'homme ! Vas t'en lui dire, avant que je t'étrippe.
Ma colère était montée, je ne savais me contrôler. Heuresement que mon fidèle bras droit acid était la pour me faire reprendre raison. Je quittais la salle, regardant derrière moi la cachette de Lhuz.