L'appel à la solitude et aux remorts.

Messages : 50 Date d'inscription : 11/11/2009 Age : 30 Localisation : En Enfer

Comme chaque jour ac!d était assis au coin du bar à rigoler, avec ses vieux amis, puis un jour il disparut du jour au lendemain. Personne n'était plus inquiet que cela sachant que ac!d, avait pour habitude de chasser deux ou trois jours d'affilés, mais son absence se prolongea.. Si longtemps que l'on crut qu'il avait péri sur ces Terres d'argent. Ce n'était la version correcte de cette histoire. Ac!d s'était isolé en haut des montagnes pour méditer, repenser à tous ces moments que l'on ne vit qu'une fois, ces moments exeptionnels auxquels on ne prête pas obligatoirement attention, mais qui se gravent à jamais dans notre mémoire, et qui nous submerge un jour d'émotion tel une mer déferlant sur le sable blanc d'une plage. Ac!d regardait les feuilles d'un arbre tomber délicatement sur le sol. Il repensait à tout ces beaux moments lors de sa tendre enfance, le sourire de sa mère, le regard perçant de son père. La gorge nouée il versait quelque larmes. Ces perles qui ruisselaient sur ces joues étaient tellement rare qu'elles scintillaient de mille feux. Ces êtres chers dérobés trop tôt à son âme fougueuse et encore fragile qui se renferma peu à peu sur elle, après ce désastre, cette injuste, ce crime commis de sang froid. Toutes ces pensées étaient tournées vers le passé, sans s'en rendre compte ac!d se détruisait de l'intérieur en voulant rendre justice à ses géniteurs, car chaque goutes de sang versés était pour la plupart du temps un innocent de tués... Ac!d aurai toujours rejeté ces manières si ces parents étaient encore de ce monde mais ils ne l'étaient plus... Malgré que sa vie n'ai été que très peu heureuse, ac!d dissimulait tout au fond de lui quelqu'un de sensible, il était resté droit, honnête et sincère, ces qualités qu'il faut préserver dans l'ère du temps. La flamme du destin restera intacte jusqu'à ce que la vie nous consume entièrement, il faut croire en son destin même si tout nous accable, il y a toujours pire que nous.
Le cercueil qui sur les morts se ferme ouvre le firmament, et ce qu'ici bas nous prenons pour le terme, est le commencement a dit Monsieur Victor Hugo.